Gender relations in Bangladesh have been undergoing a process of considerable transformation over the past thirty years as part of a broader process of economic transition and societal change. Women farmers made up 40 percent of the total agricultural labor force in 2010, with a 7 percent growth in women’s participation in agriculture between 2005 and 2010 (Akter et.al., 2015). Evidence shows that the wage difference between men and women in agriculture decreased from 40% to 30% for the year 2011/12 to 2013/14, which can be taken as a positive change (FPMU, 2015; BBS Monthly Bulletin, 2015), although the gap is still very high. Despite such progress, Bangladeshi women are still primarily considered to be unpaid family labor (56.3% of women in the labor force), and their contributions to agriculture are not fully recognized, neither in the household and communities nor at the national level (SFYP, 2015).
In Zambia, investment in agricultural extension with a focus on gender equity and nutrition outcomes has been increasing, and in the last decade, several organizations have replicated projects in different geographical areas. However, with persistent high prevalence of malnutrition and micronutrient deficiencies still being recorded especially among children below the age of five, it is either these initiatives have little impact on reducing malnutrition, they are not sufficient, the correct programs are not being implemented, and/or the methods used to measure the impact may be inappropriate.
En matière d’alimentation, les hommes sont souvent prioritaires : ils ont le droit de manger avant tout le monde et c’est à eux que revient l’alimentation la plus nutritive. Il arrive que les femmes et les enfants n’aient droit qu’à de petites portions et des repas moins nutritifs. Cela expose les femmes et les filles à toute une gamme de conséquences néfastes pour leur santé physique et affective. La malnutrition a des conséquences intergénérationnelles car les femmes mal nourries accouchent de bébés ayant un faible poids à la naissance. Ces nourrissons peuvent connaître des retards cognitifs et autres toute leur vie, ce qui fait qu’il leur est difficile d’échapper à la pauvreté. Lorsque les femmes sont confrontées à une discrimination en matière alimentaire à l’échelle nationale, c’est le capital humain de tout un pays qui est menacé.
Les services de vulgarisation et de conseil rural (SCR) aident les petits producteurs à améliorer la productivité et l’efficience de leur exploitation et à prendre des décisions concernant les perspectives de leur entreprise. Les SCR englobent non seulement les services publics de vulgarisation mais aussi des services organisés et financés par des sociétés privées le long de leurs chaînes d’approvisionnement – par exemple, une entreprise de transformation de produits alimentaires ou un groupement d’achats de produits peut établir un système de sous-traitants satellites et employer ses propres agents de vulgarisation.
Une campagne de vulgarisation est un effort concerté pour informer un grand nombre de producteurs dans un délai relativement court sur une thématique agricole qui les préoccupe ou les intéresse. Le but est d’arriver à un changement rapide et de grande ampleur du comportement et des pratiques des producteurs par des efforts soigneusement orchestrés par différentes organisations, en utilisant une variété de circuits de communication. Une campagne de vulgarisation exige un axe précis (Encadré 1) et un objectif clair. Elle doit se traduire par des avantages matériels pour les producteurs dont les besoins et les attentes sont déterminants pour donner corps à la campagne.
Les producteurs et les conseillers agricoles sont constamment confrontés à la gestion de problèmes phytosanitaires. Les causes biotiques (ravageurs et maladies) et les causes abiotiques telles que la faible fertilité du sol provoquent des pertes régulières et souvent considérables de production et de qualité des récoltes. Le diagnostic est rendu difficile par une diversité de causes et de symptômes avec de multiples origines possibles. Il faut réfléchir soigneusement pour choisir les meilleures options de gestion.
La multiplication rapide des chaînes de télévision (télé) offre une opportunité unique pour disséminer le savoir dans un court laps de temps à des millions d’agriculteurs par le biais de systèmes d’information publics et privés. Quand des thématiques et des messages agricoles sont tissés dans des divertissements télévisés qui mettent en scène des acteurs, des comédiens et des personnages de dessin animé populaires, l’information touche un public beaucoup plus large qui, d’ordinaire, ne serait peut-être pas nécessairement attiré par l’agriculture. Les jeunes se sont intéressés à l’agriculture en regardant des émissions de télé-réalité qui suivent la vie de jeunes producteurs de denrées alimentaires et les témoignages de « super-héros » de l’agriculture, ce qui rend ces sujets divertissants et éducatifs en même temps, d’où le terme « ludo-éducatif ». La télé ludoéducative touche un grand nombre de téléspectateurs dans le confort de leur foyer, ce qui crée une passion pour l’agriculture tout en fournissant des informations sur des nouvelles technologies qui sont essentielles pour les exploitants.
L’environnement social, climatique et économique en rapide mutation pour l’agriculture à travers le monde fait que les exploitations se diversifient de plus en plus du point de vue de leur taille, de leurs ressources, de leurs modèles de production, de l’accès aux marchés et des caractéristiques des ménages1. Par conséquent, il est vraiment essentiel de mettre en place des services de conseil rural (SCR) plus diversifiés et plus spécialisés qui soient pertinents pour les agriculteurs. Cela nécessite de repenser la façon dont nous organisons et nous finançons les SCR pour en faire des systèmes qui soient ajustés à la demande des producteurs et pilotés par elle.
L’objectif global des cercles d’études ruraux (CER) est de favoriser un apprentissage, des capacités et une autonomisation des petits exploitants. Les CER font partie d’une pléthore d’approches en matière de vulgarisation agricole pour les groupements paysans qui sont fondées sur les principes d’apprentissage des adultes. De telles approches sont autodirigées/autonomes, fondées sur le savoir existant et sur le vécu ; elles sont axées sur les objectifs, pertinentes, pratiques et collaboratives.
L’attention accordée à la vulgarisation (que l’on appelle aussi les services de conseil rural) a connu des hauts et des bas dans le programme mondial en matière de développement. Elle a augmenté à l’époque de la révolution verte. Aujourd’hui, du fait de facteurs tels que les crises des prix alimentaires et le changement climatique, la vulgarisation est de plus en plus reconnue comme un élément crucial pour le développement rural. Cette note entend présenter aux chargés de programme dans le domaine du conseil rural les différentes philosophies et méthodes de vulgarisation ayant eu cours lors des décennies écoulées. Elle démontre que chaque approche est née de circonstances particulières et présente à la fois des mérites et des inconvénients.
Smallholder agriculture can potentially affect food security and nutrition through the following pathways:
This factsheet is the second publication by generation nutrition looking at the differentways of preventing child undernutrition. It explains howagricultural programmes in developing countries can have a bigger impact in reducing undernutrition and, in doing so, fulfil one of the sectors main roles: to provide people with the nutritious food they need for a healthy and productive life.
Given that the emphasis on enhancing agriculture’s impact on nutrition is relatively new, some key knowledge gaps exist on the relative mix of components and the extent of their integration that make implementation most effective. The institutional aspects of programme delivery, technical capacities and inter-sectoral collaboration required are also not well understood. Questions remain regarding the design and implementation of nutrition education for behaviour change and what makes such interventions work, how they can be sustained and scaled up, and at what cost? Much work remains to be done to know exactly what to do and how to do it, and to determine where the greatest opportunities are. In other words, it is important to know which type of programmes deliver the greatest benefit to target beneficiaries and are likely to have the greatest impact.
The guidance is designed for non-nutrition specialists. It helps agriculturalists avoid unintentionally harming the nutritional status of target households and boost nutrition whenever possible. It includes:
There is broad consensus on the need to scale up nutrition-specific interventions– ie, direct nutrition interventions such as promoting exclusive breastfeeding, infant and young child feeding, or greater coverage of vitamin A. But the limited evidence base on nutrition-sensitive approaches makes it difficult for agriculture, social protection and other relevant policies to take account of their potential impact on nutrition. There is an urgent need to strengthen the nutritional component of many agricultural policies and investment plans.2 A role of agricultural policy is to promote economic development and provide nutrition for a country’s population. CAADP plans should include a nutrition strategic objective supported by clearly defined indicators. The indicators should be differentiated by gender and age group (adult and child).